Féminisme d'hier vs aujourd'hui
8 mars 2020
Le combat féministe, c'est que toute femme puisse penser et agir librement. Que les femmes puissent avoir la liberté d’être ce qu'elles ont envie d’être, de faire ce qu'elles ont envie de faire et de dire ce qu'elles ont envie de dire.
Les premières féministes croyaient au potentiel des femmes. Pour elles, la femme était simplement l'égale de l'homme. Elles souhaitaient donc voir disparaître toute forme de discrimination basée sur le sexe.
Les féministes d'aujourd'hui entretiennent plutôt cette discrimination... en voulant classer les femmes à part à grands coups de quotas ou de programmes spéciaux, comme si nous étions une espèce fragile à protéger.
Les premières féministes ont foncé. Elles n'ont pas attendu que les hommes leur ouvrent grand les portes.
Les féministes d'aujourd'hui ont un discours victimisant et quémandeur.
Le féminisme d'aujourd'hui ne me rejoint pas du tout.
Alors, en cette Journée Internationale des femmes, c'est à nos premières féministes que je veux dire un immense MERCI!
Merci à celles qui nous ont légué ce merveilleux héritage: la confiance en nous et la liberté!
Grâce à elles, au Québec, l'égalité des chances, nous l'avons.
Je me fous de l'égalité des résultats (la parité). Pas besoin d'avoir autant de femmes que d'hommes en politique ou dans la construction, par exemple. L'important c'est qu'une femme puisse aller en politique ou dans la construction si elle le veut. Et c'est le cas!
Le combat féministe, c'est que toute femme puisse penser et agir librement. Que les femmes puissent avoir la liberté d’être ce qu'elles ont envie d’être, de faire ce qu'elles ont envie de faire et de dire ce qu'elles ont envie de dire.
Les premières féministes croyaient au potentiel des femmes. Pour elles, la femme était simplement l'égale de l'homme. Elles souhaitaient donc voir disparaître toute forme de discrimination basée sur le sexe.
Les féministes d'aujourd'hui entretiennent plutôt cette discrimination... en voulant classer les femmes à part à grands coups de quotas ou de programmes spéciaux, comme si nous étions une espèce fragile à protéger.
Les premières féministes ont foncé. Elles n'ont pas attendu que les hommes leur ouvrent grand les portes.
Les féministes d'aujourd'hui ont un discours victimisant et quémandeur.
Le féminisme d'aujourd'hui ne me rejoint pas du tout.
Alors, en cette Journée Internationale des femmes, c'est à nos premières féministes que je veux dire un immense MERCI!
Merci à celles qui nous ont légué ce merveilleux héritage: la confiance en nous et la liberté!
Grâce à elles, au Québec, l'égalité des chances, nous l'avons.
Je me fous de l'égalité des résultats (la parité). Pas besoin d'avoir autant de femmes que d'hommes en politique ou dans la construction, par exemple. L'important c'est qu'une femme puisse aller en politique ou dans la construction si elle le veut. Et c'est le cas!
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